Architecture, Mobilité, Nomadisme, Urbanisme, Nouveaux Imaginaires urbains, Nouvelles Fictions, Prospective, Nouveaux imaginaires du corps, Nouveaux imaginaires du sport
Monday, December 30, 2013
Thursday, December 19, 2013
ET SI LE GRAND PARIS DEVENAIT ENERGIQUEMENT AUTONOME ?
Et si chaque bâtiment du Grand Paris produisait de l'énergie ?
Et si nous devions revenir à une gestion énergétique ultra-locale ?
Et si c’était totalement impossible ?
Et si cela impliquait une modification trop radicale de nos modes de vies ?
Et si c’était, au contraire, très facilement réalisable ?
Bref, et si on repensait entièrement la politique énergétique du Grand Paris ?
C'est pour répondre à ces questions - et à quelques autres - que nous avons invité :
- Philippe VILLIEN, architecte-urbaniste, responsable du programme de recherche « Histoire et prospective d’une capitale économe - 1770 / 2050 » et qui a présenté ses réflexions sur le sujet engagées dans le cadre du programme de recherche Ignis Mutat Res sur les nouveaux paysages de l'énergie dans le Grand Paris.
- Raphaël MENARD, ingénieur - architecte, directeur de la prospective du groupe Egis et co-gérant d’Elioth.
- Franck BOUTTÉ, ingénieur - architecte, directeur de F.B.C.
Les Ateliers Transit-City ont lieu au Pavillon de l'Arsenal de 8h45 à 11h
21 Bd. Morland 75004 PARIS.
Wednesday, December 18, 2013
Tuesday, December 17, 2013
APOLLO IS BACK
Depuis deux jours que nous arrivent les images du petit véhicule chinois roulant sur la Lune, j'ai l'impression de voir un grand mix des programme spatiaux soviétiques et américains des années 70. Même technique, mêmes formes, mêmes couleurs ...
La tentation serait d'imaginer que les chinois n'ont fait que reprendre les technologies et les réponses apportées par leurs illustres prédécesseurs, et qu'ils ne seraient donc que des gros copieurs. C'est possible ... Mais on peut aussi imaginer que les solutions développées dans les années 70 furent tellement excellentes qu'il serait normal d'y revenir pour inventer un nouvel avenir à la conquête spatiale cruellement en manque de nouveaux imaginaires et de nouveaux rêves depuis 20 ans - là.
C'est en tout cas l'état d'esprit des américains qui après avoir abandonné leurs navettes, s'apprêtent aujourd'hui à développer un programme qui ressemble étrangement à celui d'Apollo. Voir les images ci-dessous et les explications, là.
Là encore même technique, même forme, mêmes couleurs, seule la taille change.
Les planches ci-dessus sont tirées de "Et si le futur n'existait pas ?", présenté lors du dernier l'Atelier Transit-City du 15 novembre - là.
Et pour continuer à réfléchir sur la notion de "progrès" en matière de conquête spatiale, je ne résiste pas à vous proposer ci-dessous des images sur les aménagements intérieurs de la capsule qui devrait succéder à Apollo. Ça renvoie très directement à "le Corbu on the Moon"
Monday, December 16, 2013
B2 FURTIF, UNE AUTRE HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE
"Contrairement à Léonard de Vinci, Archigram ou François Dallegret, on pourrait regretter qu'une architecture nomade ou mobile perde son essence "architecturale" dès lors qu'elle devient un artefact auto-mobile : roulant flottant ou volant. En apparence, tout fonctionne comme si la cause en était la perte de fondation et de lourdeur, ou bien la capacité d'une locomotion faisant de cet habitacle un véhicule pilotable. Or il ne s'agit bien évidement pas que de cela. Si l'on admet encore couramment qu'il existe bien un métier d'architecte naval, l'équivalent pour les véhicules terrestres, aéronautiques ou astronautique ne vaut pas - ou fort peu. Dès lors qu'un certain niveau de technicité et/ou de sérialité s'impose dans la production, l'architecte cède la priorité à l'art de l'ingénieur ou au designer industriel."
Ces quelques lignes sont extraites du passionnant "Fatal Beauty - Une ombre aux ailes coupées" de Jan Kovak, publié chez les toujours impeccables éditions B2. Lisez le, vous allez vous régaler !!
Voilà le pitch.
"L'architecture aéronautique militaire relève d'une « bunker archéologie » qu'il reste entièrement à écrire. Or les défis et les solutions soulevés par le bombardier furtif B-2 font de sa conception un récit majeur d'ingéniosités. Livré en 1989, le premier exemplaire fut baptisé Spirit of America et immédiatement affublé du nickname de « beauté fatale ». Avec un coût évalué jusqu'à trois fois son poids en or, les 72 tonnes de son fourreau noir aux allures d'hirondelle condensent un raffinement technologique rare ! Dans son essai, l'architecte Jan Kovac retrace l'histoire politique et militaro-industrielle qui a fait du B-2 un objet de fierté paradoxal : né en 1978 de l'esthétique de Star Wars, livré trop tard pour la Guerre froide, impuissant face au 11 septembre et ayant largement contribué à la dette du pays..."
Et pour comprendre que cette histoire de B 2 furtif ne fait que commencer, voir là et - surtout - là.
Et voir là pour comprendre les images ci-dessous.
Et ça renvoie évidement aussi à cela, dont les images ci-dessous sont extraites.
Friday, December 13, 2013
ET SI ... / WHAT IF ...
Longtemps, la voiture a été associée à l'évasion, à la liberté, aux vacances. Aujourd'hui elle est associée au quotidien, aux embouteillages, au travail ... et c'est pour cela qu'elle va peut-être changer de nature et de fonctions - voir là.
C'est une des nombreuses questions que l'on abordera là.
Thursday, December 12, 2013
LA VOITURE COMME PLATEFORME ÉVOLUTIVE : LES 24 HEURES DU MANS COMME MODÈLE ?
Si on part du principe que la conception automobile va totalement se renouveler dans les 10 ans qui viennent.
Si on part du principe que la voiture va devenir un plate forme collaborative - là.
Si on part du principe que la voiture ne sera plus jamais un objet fini - là et là.
Si on part du principe que la voiture sera forcément très évolutive au cours de sa vie - là.
... alors, on est obligé de se poser cette question : où regarder pour penser cet avenir post fordist de l'automobile ?
Et si c'était dans les stands d'une course comme les 24 Heures du Mans ?
J'ai pas de réponse, juste des photos à vous proposer pour réfléchir.
Si on part du principe que la voiture va devenir un plate forme collaborative - là.
Si on part du principe que la voiture ne sera plus jamais un objet fini - là et là.
Si on part du principe que la voiture sera forcément très évolutive au cours de sa vie - là.
... alors, on est obligé de se poser cette question : où regarder pour penser cet avenir post fordist de l'automobile ?
Et si c'était dans les stands d'une course comme les 24 Heures du Mans ?
J'ai pas de réponse, juste des photos à vous proposer pour réfléchir.
Toutes performantes, toutes différentes, toutes ultra-personnalisées... un certain idéal automobile pour beaucoup - là et là.
Voir aussi là.