Si on fait l'hypothèse que les animaux sauvages vont être de plus en plus importants dans la pensée prospective urbaine - voir, là.
Si on fait l'hypothèse que les animaux sauvages vont devenir de plus en plus importants dans la pensée prospective sur le sport - voir, là.
Si on fait l'hypothèse qu'il va falloir réinventer de nouveaux rapports entre la ville, le sport et les animaux sauvages, pourquoi cela ne passerait-il pas par les oreilles ?
Pourquoi ne pas imaginer que la bioacoustique, c'est à dire l'écoute des voix animales, ne devienne un facteur important dans la partique de certains sports demain et ce tant en milieu urbain que naturel ?
Et si au lieu d'écouter de la musique en courant, on s'ouvrait aux vocalises des oiseaux, aux stridulations des insectes, voir aux hurlements chorales des loups ?
Et si c'était le cas, ne faudrait-il pas dès lors regarder l'exposition "Musicanimale" organisée à la Philharmonie de Paris, comme un laboratoire de ce qui pourrait caractériser une partie des nouvelles pratiques sportives de demain ?
Ca serait un excellent complément et enrichissement aux hypothèses sportives faites autour des "Veilleurs du vivant".
On en reparle le 16 novembre prochain, là.