« Raisonnable, retenant les leçons de l’histoire et à l’écoute des signes forts ou faibles de notre actualité, la prospective éclaire des routes pour demain sans changer les règles du jeu de nos sociétés.
Elle aide à la réflexion pour définir des stratégies, puis pour agir sur le réel.
Mais elle ne rebat pas suffisamment les cartes pour creuser des chemins de traverse, perçus au départ comme impossibles et pourtant in fine plausibles.
Elle a du mal à remettre en cause les hypothèses qui fondent l’économie capitaliste telle que nous la subissons aujourd’hui.
Bref, elle s’interdit de transformer un jeu de Monopoly en une partie de marelle.
Est-ce la subjectivité qui lui manque pour échapper aux paradigmes dominants de son époque ?
Est-ce la subjectivité qui lui manque "pour porter son regard loin, de façon aussi libre, diverse et irrévérencieuse que les meilleures œuvres de science-fiction ? »
- là.
Ça vous dit de venir échanger avec Ariel Kyrou sur cette question le 7 juin prochain lors des prochaines Rencontres de la prospective sportive ® ?
Rien de plus simple.
Il vous suffit d'envoyer un mail à francois.bellanger@gmail.com en disant "Je viens".