Longtemps, être possédé a été vu comme une malédiction.
Mais aujourd'hui ?
Et si aujourd'hui, c'était le contraire ?
Et si aujourd'hui être possédé était une qualité ?
Et si le sport était en train de rendre positif et désirable ce que les religions ont longtemps vu comme maléfique ?
Et si aujourd'hui la sémantique sportive était plus forte que la sémantique religieuse ?
Et si aujourd'hui le sport devenait donc plus fort que les religions ?
On en reparlera le 13 mars au matin, là.