Ces images en prolongement de against the train surfers.
Analyses plus complête là, dont j'ai extrait les lignes ci-dessous.
"Ansori Bejo, 45 ans, raconte son expérience de "surfeur" sur les toits des trains de la ligne économique qui relie Bogor à Jakarta [une cinquantaine de kilomètres] avec des centaines d’autres passagers : "Entre 6 et 8 heures du matin, c’est l’heure de pointe. Les trains ne passent pas tout le temps, si bien qu’ils sont pleins à craquer. On n'a pas d’autre choix que de grimper sur le toit pour ne pas être en retard au travail." Surfer sur les toits des trains n’est pas de tout repos. Il faut éviter les mouvements brusques et savoir s’allonger rapidement à plat ventre quand le train passe au-dessous d’une ligne à haute tension. Il arrive souvent qu’un "collègue" tombe du toit parce qu’il a perdu l’équilibre, ou qu’il soit électrocuté. Tous ces surfeurs sont des pères de famille partant au travail. Un mouvement de solidarité est né entre ces voyageurs du ciel. Au début, ils se cotisaient pour payer la nourriture et les frais d’éducation des enfants dont les pères étaient morts en "surfant". (...) "