Quand la question "Pizza = mobilité fluide ?" rejoint la question "Vers une révolution des modes de conception automobile ?", ça peut donner cette réponse là.
Ça se dispense de tout commentaire tellement c'est clair et limpide sur les nouvelles façons de penser et de concevoir une voiture dans les prochaines décennies. Ou quand le constructeur auto n'est plus qu'un assembleur qui a laissé la conception à ses clients.
C'est l'application de ce qu'annonçait Anne Asensio, vice-présidente Design Experience chez Dassault Systèmes : "Grâce à Internet, à la 3D ou à la virtualisation, nous créons des applications qui permettront à quiconque, via des expériences très réalistes, d'interagir avec un véhicule avant de se lancer dans la conception d'une voiture.
Au final, on pourra décider si telle voiture à un "droit d'existence", et éviter de produire pour remplir des showrooms ou des parkings de véhicules que l'on veut imposer aux gens. Certains constructeurs sont déjà en train de tester ces outils. Ils vont se répandre très vite. Ça, c'est du développement durable à son niveau optimal." - plus là.
Au final, on pourra décider si telle voiture à un "droit d'existence", et éviter de produire pour remplir des showrooms ou des parkings de véhicules que l'on veut imposer aux gens. Certains constructeurs sont déjà en train de tester ces outils. Ils vont se répandre très vite. Ça, c'est du développement durable à son niveau optimal." - plus là.
C'est évidement le genre de démarche dont on ne parlera surtout pas au Mondial de l'Automobile de Paris, même si celui-ci affiche comme slogan "Le Futur maintenant".