Récemment, nous nous demandions "s'il ne fallait pas interdire les salles de sport ?"
C'était évidement une provocation destinée à s'interroger sur le rôle des salles de sport au vu des objectifs de santé de publique visant à developper les mobilités actives.
Reste que la question du rôle des salles de sport est bien une question d'actualité, car leur rôle au coeur des villes est en train de changer.
Aujourd'hui, les salles de sport sont devenues autre chose que de simples salles de sports.
Elles sont devenues de véritables locomotives commerciales et sont en train de de sauver les centres commerciaux américains et de revitaliser certains quartiers de centre ville.
Elles sont une arme contre le déclin du commerce traditionnel face à la montée en puissance du commerce sur internet.
Longtemps le commerce a dépendu de la voiture - le fameux "no parking, no business" - , aujourd'hui il dépend du corps en mouvement.
C'est une vraie révolution.
Pour tout comprendre sur cette mutation, il faut lire "The Boutique Fitness Boom" publié par le NYT.
Reste que la question du rôle des salles de sport est bien une question d'actualité, car leur rôle au coeur des villes est en train de changer.
Aujourd'hui, les salles de sport sont devenues autre chose que de simples salles de sports.
Elles sont devenues de véritables locomotives commerciales et sont en train de de sauver les centres commerciaux américains et de revitaliser certains quartiers de centre ville.
Elles sont une arme contre le déclin du commerce traditionnel face à la montée en puissance du commerce sur internet.
Longtemps le commerce a dépendu de la voiture - le fameux "no parking, no business" - , aujourd'hui il dépend du corps en mouvement.
C'est une vraie révolution.
Pour tout comprendre sur cette mutation, il faut lire "The Boutique Fitness Boom" publié par le NYT.
"A visit to an upscale suburban mall or a city shopping district used to be marked by stops at Gap, Sharper Image and Barnes & Noble, ending in a pile of shopping bags. Now it’s about taking a $36 Pilates class, maybe followed by a $36 indoor cycling session if you’re really committed, then hitting the organic market to slam a $10 coconut water before making a quick stop for $40 cryotherapy.
That’s what I did earlier this month at Rye Ridge shopping center, an outdoor mall in Rye Brook, N.Y., which houses, among the typical Starbucks, drugstores, delis and clothing stores, a profusion of boutique fitness and wellness-based retail enterprises almost as concentrated as the electrolyte level in the coconut water. It is reflective of boutique “fitness clusters” around the country that have emerged in suburban shopping developments and gentrifying city neighborhoods. These new storefronts are rendering the old concept of "mall walking" absolutely antiquated, if a comparative bargain."
"As brick-and-mortar retail stores have taken a beating from the internet, yoga, pilates, rowing, boxing, cycling, barre and H.I.I.T. studios are entering the spaces formerly inhabited by apparel, books and electronics stores: catering to a consumer class seemingly more interested in investing in the shape of their bodies than the clothes that cover them.
Taking a group fitness class, it turns out, is one of the few things you can’t order from Amazon. These studios now make up a big part of what’s been called the “experiential economy”, but amplified to the max by the more recent advent of Instagram selfies."
Une analyse qui confirme deux de nos convictions profondes et anciennes chez Transit-City :
- d'abord, que le XXI° sera bien le siècle du corps,
- ensuite, que ce qui aura de la valeur demain, sera ce qui ne sera jamais numérisable.
On en reparlera plus longuement jeudi prochain, là.
- d'abord, que le XXI° sera bien le siècle du corps,
- ensuite, que ce qui aura de la valeur demain, sera ce qui ne sera jamais numérisable.
On en reparlera plus longuement jeudi prochain, là.