Et si plutôt que de subventionner l'achat de carburant, et inciter ainsi encore un peu plus à l'utilisation de la voiture, le gouvernement français s'engageait enfin dans une vraie révolution mobilitaire autour des mobilités actives ?
La voiture a structuré les territoires à partir du milieu du XX° siècle.
Pourquoi ne pas se donner comme objectif que ça soit les mobilités actives qui structurent nos territoires à partir du milieu du XXI° siècle ?
Cela supposerait une vraie vision à long terme sur la mobilité, le corps, la santé et les nouvelles vocations du sport.
Oui, c'est ambitieux comme mutation et cela suppose surtout du courage politique.
Mais à la vue des situations écologique, climatique, énergétique et géostratégique actuelles, ne serait-ce pas la meilleure solution ?