Longtemps le sport a servi à former des corps.
Plus minces.
Plus musclés.
Plus performants.
C’est toujours en grande partie vrai.
Sauf qu’aujourd’hui les références du sport et du corps changent
La référence centrale du sport n'est plus la performance, mais le plaisir.
La référence corporelle n'est plus la minceur à tout prix, mais le bien être et le bien dans sa peau.
À partir de ces deux constats, émergent trois questions toutes simples :
- Faut-il continuer à penser le sport comme formateur d’un corps idéal ?
- Et si ce n'était plus le sport qui formait les corps, mais les corps a priori non sportifs qui dessinaient les pratiques sportives de demain ?
Dit autrement et de façon plus radicale : et si c'était les non-sportifs qui inventaient les sports du futur ?
A méditer.