Les grandes compétitions sportives sont tout sauf écologiques.
Elles sont même parfois carrément des absurdités climatiques.
Mais elles génèrent parfois des images qui peuvent amener à penser différemment les installations sportives dans un monde qui va devenir de plus en plus chaud.
Deux exemples :
- le projet du stade Hassan II à Casablanca.
- le projet de très grand stade King Salman à Riyad.Les images de ces projets nous montrent des oasis de verdures au milieu de zones très arides.
Les images de ces projets nous montrent des zones de fraicheur au milieu de zones très chaudes.
On peut considérer qu'elles nous montrent des aberrations écologiques.
Mais on peut aussi considérer qu'elles nous montrent autre chose que des stades.
Ces images pourraient alors nous raconter une histoire plus ambitieuse qu'une simple histoire d'architecture sportive.
On pourrait se demander et si dans un monde plus chaud et plus sec, la ville arabe devenait un modèle ?
Et alors on pourrait regarder ces images comme une nouvelle façon de nous adapter à notre futur climatique.
On regarderait alors ces images un peu autrement.
On leur imaginerait de nouvelles vocations…
Et on pourrait imaginer à ces stades d’autres possibles…
On pourrait notamment imaginer que demain, les stades deviennent des refuges climatiques.
C’est une hypothèse parmi beaucoup d’autres…
Mais c'est loin d'être la seule
La réflexion est à poursuivre.