"La mode est au travail collaboratif. C’est effectivement très souvent la meilleure des solutions quand il s’agit de mener des projets lourds et complexes qui nécessitent une multitude de compétences complémentaires. Quand l’ampleur de la tâche implique de la morceler en entités de taille plus humaine. Ou quand il s’agit de donner un coup de main à un collègue débordé, tout simplement. Mais pourquoi vouloir faire du travail en équipe un principe absolu, une règle d’organisation incontournable ?
Il est désormais mal vu de préférer mener seul un projet, d’apprécier, dans certaines occasions, la réflexion et l’action en solo.(...)
(...) D’autant que ce travail collaboratif est la plupart du temps très mal réparti. Les meilleurs sont évidemment les plus sollicités. Et les plus ringards seront en revanche les premiers à vouloir collaborer, car ils ont tout à y gagner. (...)"
Cela fait beaucoup de bien de voir - enfin ! - démonter cette grande obsession du collaboratif.
De façon plus globale, voir "Mais il est où le Émile Zola de la nouvelle révolution industrielle ?"
De façon plus globale, voir "Mais il est où le Émile Zola de la nouvelle révolution industrielle ?"