Si on part du constat que les grandes avancées technologie en matière de transports viennent principalement de trois secteurs : celui de l'armée (là), celui de l'espace (là) et celui de l'exploration et de l'exploitation des matières premières, Transit-City ne pouvait faire l'économie d'une réflexion sur ce dernier sujet. Surtout si on intègre que l'un des grands enjeux dans les décennies à venir, va être la course à de nouvelles sources d'énergies ... et donc, forcément, à l'émergence de nouvelles catégories d'engins et de machines qui viendront nourrir, d'une façon ou d'une autre, nos imaginaires urbains et nomades.
Dans le prolongement de nos récents posts, nous venons donc de lancer un tout un nouveau chantier de réflexions sur l'influence de l'exploration minière et pétrolière dans la construction de nos imaginaires mobiles et architecturaux, comme on le voit en Australie - voir Mines and the Cities.
L'influence de ces engins est parfois très étonnante - voir à ce sujet "Et si Nike devait beaucoup à Archigram ?" qui fait un lien direct entre la plate-forme pétrolière urbaine qu'est le Centre Beaubourg et la basket.
L'influence de ces engins est parfois très étonnante - voir à ce sujet "Et si Nike devait beaucoup à Archigram ?" qui fait un lien direct entre la plate-forme pétrolière urbaine qu'est le Centre Beaubourg et la basket.
Nous publierons très prochainement un Cahier sur le sujet, titré "Energy Exploration - Quand les machines de l'exploration minière et pétrolière nourrissent les imaginaires de la mobilité et de l'architecture"
Là.