La publicité ci-dessus date de 1977, et je l'ai souvent utilisée pour montrer combien Nike avait été précurseur dans la façon de penser la mobilité urbaine - voir là.
Ce qui apparaissait anecdotique en 1977 - courir en ville - est devenu l'imaginaire dominant des grandes villes mondiales - voir, là ou là.
Si je vous parle de cette pub Nike, c'est que je suis tombé récemment sur la photo ci-dessous d'un nageur traversant Paris en crawl.
Une photo qui rappelle furieusement la pub Nike - "man vs machine" -, la seule différence étant que la course à pied a laissé place à la natation.
Ce qui apparaissait anecdotique en 1977 - courir en ville - est devenu l'imaginaire dominant des grandes villes mondiales - voir, là ou là.
Si je vous parle de cette pub Nike, c'est que je suis tombé récemment sur la photo ci-dessous d'un nageur traversant Paris en crawl.
Une photo qui rappelle furieusement la pub Nike - "man vs machine" -, la seule différence étant que la course à pied a laissé place à la natation.
Face à cette image du nageur avec en arrière plan la voiture, il y a deux attitudes possibles :
- soit, on se dit qu'elle est totalement marginale ("un dingue qui nage dans la Seine polluée") et que fermer les berges de la Seine à la voiture est une connerie.
- soit, au contraire, on se dit qu'elle annonce une nouvelle façon de penser la mobilité urbaine dans la décennie à venir, celle de la sportivité face à la mécanique, et en l'occurrence celle de la natation face à la voiture.
Bref, et si ces images symbolisaient le passage "de la mobilité à la motricité", ou "du transport aux trans-sports®" ? - voir, là.
Pour prolonger la réflexion sur la natation demain en ville, lire "Swim to work ?"
Et sur la Seine comme axe de mobilité sportive, voir ;
- "vers une paddle mobility ?"
- "et si on passait enfin de la passivité à la sportivité ?"
Et sur la Seine comme axe de mobilité sportive, voir ;
- "vers une paddle mobility ?"
- "et si on passait enfin de la passivité à la sportivité ?"