Cela fait de nombreuses années que l'on parle du covoiturage comme une des réponses à la saturation automobile.
Mais si on fait le constat que l'avenir n'est plus à la voiture, mais à la mobilité active et sportive.
Et si, parallèlement, on fait l'hypothèse que les fleuves et les rivières vont redevenir des axes de mobilité urbaine - là.
Et si, enfin, on fait le pari que les engins à rames deviennent des moyens de trans-sports urbains - là.
Alors ...
Alors pourquoi ne pas travailler sur la notion de co-canotage ?
Ou quand le partage de l'effort physique sur l'eau pourrait devenir une des grandes mobilités urbaines du futur.
On en reparle le mardi 26 novembre, là.