Si on part du principe que la mobilité active est l'un des grands chantiers urbains en cours - là.
Si on fait le constat que la course à pied est en train de devenir un moyen de trans-sport ® à part entière - là.
Si, parallèlement, on fait le constat que les arbres et la forêt sont devenus les grands fantasmes urbains de ce début de XXI° siècle - là.
Si on en déduit de façon assez logique, que l'imaginaire de la forêt va donc irriguer les imaginaires mobiles du futur - là.
Alors ...
Alors, on est bien obligé de se demander comment cet imaginaire forestier va irriguer nos façons de penser et d'aménager certaines rues demain dans les villes ?
On est bien obligé de se demander quelles images et représentations pourraient nourrir les imaginaires des urbanistes en charge de ces nouvelle ville sportivo-écolo-forestière ? - là.
Question et hypothèse : et si une fois de plus - et comme il fait depuis 1976 - voir, là - c'était Nike qui pouvait nous aider à penser les parcours de cette nouvelle mobilité sportivo-écolo-forestière comme il fait depuis 1976 ? - voir, là.
Et si c'était notamment sa superbe piste d'athlétisme installée au milieu de son campus de Beverton (photo du haut - là) qui devenait un modèle ?
Et si c'était sa communication qui devait nous inspirer une fois de plus pour penser nos circulations urbaines de demain ? - là.
On en reparlera lors de notre Atelier, "Et si la forêt devenait le grand imaginaire urbain du XXI° siècle ?"
Sur ce thème des nouveaux imaginaires routiers à l'aune de la forêt, voir :
- "Et si la route dégradée devenait un idéal ?"
- "Routes : quels récits pour demain ?"
Sur ce thème des nouveaux imaginaires routiers à l'aune de la forêt, voir :
- "Et si la route dégradée devenait un idéal ?"
- "Routes : quels récits pour demain ?"