Si on fait l'hypothèse que demain les rues puissent aussi devenir le territoire des animaux sauvages - voir, là.
Si on imagine que la forêt devienne un imaginaire urbain à part entière - voir, là.
Si on suppose que l'outdoor va irriguer nos imaginaires mobiles - voir, là.
Et si, enfin, on sait qu'il faut lutter contre la voiture en ville pour développer les mobilités actives - voir, là.
Alors pourquoi ne pas imaginer la rue comme un territoire forestier ?
Et pourquoi donc, ne pas imaginer de replanter des arbres au milieu des routes ?
C'est en tout cas la réflexion développée dans le cadre de "Roundabout - Vancouver" autour de la question "à quoi ressemblerait une métropole dans le nord-ouest du Pacifique, si les urbanistes reconnaissaient et exploitaient le potentiel spatial des vieux arbres existants plutôt que leur potentiel de ressources ?"
Où quand entre réalité et photos montage, peut "s'envisager une ville entièrement différente, dans laquelle les arbres massifs ne seraient plus une rareté mais définiraient et façonneraient fondamentalement la mobilité dans le tissu urbain de Vancouver."
Des images qui renvoient forcément et très directement à :
- "Et si la route, c'était fini ?"
- "De l'effrayant au très désirable ?"
- "Et si la route, c'était fini ?"
- "De l'effrayant au très désirable ?"