Si on part du principe :
- que le camping peut devenir un idéal urbain - là.
- que la foret va devenir un espace urbain à part entière - là.
- que la foret va devenir un espace urbain à part entière - là.
- que l'outdoor est une valeur en hausse chez les citadins - là.
- que l'ensauvagement va devenir une stratégie urbaine forte - là.
- et que la distanciation peut devenir une pratique et une valeur désirable - là.
Alors, ...
Alors, il faut sans aucun doute possible s'intéresser beaucoup plus à ces notions et valeurs pour comprendre les nouveaux imaginaires urbains en construction aujourd'hui.
Alors, il faut sans aucun doute possible s'intéresser beaucoup plus à ces notions et valeurs pour comprendre les nouveaux imaginaires urbains en construction aujourd'hui.
Car ce sont ces références non urbaines qui vont permettre de mieux imaginer et aménager les villes dans les décennies à venir.
Et dans ce cadre, on peut lire "The new escapism : isolotianist travel", paru il y a quelques jours dans le NYT.
Ou quand en analysant ce à quoi rêve une partie de la population pour ses vacances, on peut deviner en creux un idéal urbain juste à l'opposé de ce qu'offrent les villes aujourd'hui.
Ou quand en analysant ce à quoi rêve une partie de la population pour ses vacances, on peut deviner en creux un idéal urbain juste à l'opposé de ce qu'offrent les villes aujourd'hui.
Avec new escapism et d'isolotianism travel, on a probablement une partie de la feuille de route pour penser l'urbain du XXI° siècle.
Deux questions pour pour poursuivre la réflexion :
- Ça se traduit comment le new escapism dans la ville demain ?
- Ça se traduit comment l'isolotianism travel dans la ville demain ?
Deux questions pour pour poursuivre la réflexion :
- Ça se traduit comment le new escapism dans la ville demain ?
- Ça se traduit comment l'isolotianism travel dans la ville demain ?