L'avantage avec les grandes institutions sportives internationales, c'est que plus le monde change ... moins, elles, changent.
Les menaces climatiques, écologiques et énergétiques mises en avant par le GIEC depuis une quinzaine d'années, auraient pu laisser penser que les décideurs de ces institutions et les sponsors qui les financent, allaient les amener à revoir leur façon de penser et d'organiser les grandes compétitions internationales.
Il n'en est rien.
La carte des stades de la prochaine Coupe du monde de football 2026 en est la preuve.
En la regardant, on comprend immédiatement que la Coupe du monde 2026 sera avant tout celle du transport aérien.
Questions :
- et si demain, les aéroports devenaient des stades ?
- et si demain, les stades devenaient eux-mêmes des aéroports ?
Évidement ça n'arrivera jamais, car cela serait reconnaitre ouvertement que les grandes compétitions internationales dépendent totalement de l'aérien et deviennent malheureusement des aberrations écologiques et énergétiques à l'heure du réchauffement climatique.
On en reparle, là.