Cela fait plusieurs années qu'avec des images comme celles ci-dessus, on nous explique que la voiture individuelle est une aberration notamment en terme d'occupation de l'espace public.
Avec le lancement des premiers taxis autonomes Uber à Pittsburg (là), on découvre depuis quelques jours des images comme celles ci-dessous.
En terme d'occupation de l'espace urbain, on ne peut que constater que 25 taxis autonomes Uber = 25 voitures traditionnelles.
D'où ma question : quand les véhicules autonomes vont-ils apporter une vraie rupture dans l'occupation spatiale des villes ?
Dit autrement : Quand la révolution technologique de la voiture autonome va-t-elle, aussi, devenir une révolution urbaine ?
D'où ma question : quand les véhicules autonomes vont-ils apporter une vraie rupture dans l'occupation spatiale des villes ?
Dit autrement : Quand la révolution technologique de la voiture autonome va-t-elle, aussi, devenir une révolution urbaine ?
Cela renvoie à deux types de questions :
- Des questions sur les nouvelles formes urbaines qui pourraient apparaître avec les nouvelles fonctions des véhicules autonomes
- Des questions sur les nouvelles formes de l'objet automobile
On a déjà apporté un certain nombre d'éléments de réponse lors du dernier Atelier Transit-City "Et si la voiture autonome était aussi une histoire d'architecture ?"
Et on y reviendra forcément lors du prochain Atelier Transit-City organisé ce vendredi autour de la question "Mobilité : et si on arrêtait d'attendre la solution miracle ?"