Nous vivons une époque qui est clairement dominé et dévoré par les imaginaires du sport - voir, là.
Mais nous vivons aussi une époque où le sport se cherche de nouvelles promesses et de nouveaux horizons - voir, là et là.
Un peu comme si les grands mythes du sport - la compétition, le bien être, le dépassement de soi - ne pouvaient plus suffire.
L'une des preuves de cet l'essoufflement des valeurs traditionnelles du sport, peut se voir dans les récentes campagnes Nike dans lesquelles le sport n'est plus le sport au sens traditionnel du terme.
Le sport n'est plus un combat contre un adversaire ou contre soi-même, il est un combat contre les oppressions religieuses (là), familiales (là) ou ethniques (là) et pour l'affirmation de toutes les différences, notamment sexuelles (là).
Un autre témoin de cet essoufflement des grands mythes sportifs est la communication de la chaîne américaine de fitness Equinox.
Cela fait, en effet, plusieurs années qu'Equinox a compris que le discours "transpi+gonflette" ne marchait plus auprès d'une certaine population urbaine aisée.
C'est pour cela qu'elle a dépassé dans sa communication les promesses sportives traditionnelles, pour développer un discours autour de la transgression.
Transgression des codes sociaux - voir "Faire les cons comme nouvel idéal sportif ?"
Transgression sexuelle - voir "Et si le sport n'était qu'une histoire de cul ?"
Aujourd'hui Equinox franchit une nouvelle étape avec sa dernière campagne (là) en mettant en scène des corps qui cherchent leur accomplissement dans autre chose que le sport et la forme.
Comme si la promesse faite par le sport d'avoir d'un corps parfait ne suffisait plus.
Comme si les imaginaires du sport ne suffisaient plus au sport.
Mais nous vivons aussi une époque où le sport se cherche de nouvelles promesses et de nouveaux horizons - voir, là et là.
Un peu comme si les grands mythes du sport - la compétition, le bien être, le dépassement de soi - ne pouvaient plus suffire.
L'une des preuves de cet l'essoufflement des valeurs traditionnelles du sport, peut se voir dans les récentes campagnes Nike dans lesquelles le sport n'est plus le sport au sens traditionnel du terme.
Le sport n'est plus un combat contre un adversaire ou contre soi-même, il est un combat contre les oppressions religieuses (là), familiales (là) ou ethniques (là) et pour l'affirmation de toutes les différences, notamment sexuelles (là).
Un autre témoin de cet essoufflement des grands mythes sportifs est la communication de la chaîne américaine de fitness Equinox.
Cela fait, en effet, plusieurs années qu'Equinox a compris que le discours "transpi+gonflette" ne marchait plus auprès d'une certaine population urbaine aisée.
C'est pour cela qu'elle a dépassé dans sa communication les promesses sportives traditionnelles, pour développer un discours autour de la transgression.
Transgression des codes sociaux - voir "Faire les cons comme nouvel idéal sportif ?"
Transgression sexuelle - voir "Et si le sport n'était qu'une histoire de cul ?"
Aujourd'hui Equinox franchit une nouvelle étape avec sa dernière campagne (là) en mettant en scène des corps qui cherchent leur accomplissement dans autre chose que le sport et la forme.
Comme si la promesse faite par le sport d'avoir d'un corps parfait ne suffisait plus.
Comme si les imaginaires du sport ne suffisaient plus au sport.
On ne peut évidement pas réduire l'analyse des nouvelles pratiques sportive à cette approche, mais on ne peut pas non plus l'ignorer car cette vision dessine de nouveaux rapports aux corps, aux handicaps, à l'infirmité et aux nouvelles technologies. Soit, ni plus ni moins, quelqu'uns des grands enjeux des années à venir - voir, "C'est quoi demain un corps humain ?"
Pour aller plus loin, il faut lire "Et si nous étions fatigués de nos corps ?"