Dans le prolongement des derniers posts sur la façon dont la mobilité équestre pourrait venir irriguer nos imaginaires pour penser la mobilité urbaine de demain - voir là, là, là et là -, je voulais juste vous proposer aujourd'hui ces planches de sulkies du début du XX° siècle.
Deux options :
- soit, on regarde ces sulkies comme des engins dépassés ou réservés aux courses sur hippodromes.
- soit, on les regarde comme les possibles prémisses d'un future éco-hippo-mobilité light et performante.
C'est une question d'état d'esprit et de volonté, ou non, d'essayer de penser à nos futurs mobiles et urbains un peu autrement et, surtout, en dehors de l'obsessionnel numérique.
On en reparle le 8 juin lors de l'Atelier Transit-City organisé autour de la question "Et si les révolutions du sport entraînaient une vaste mutation urbaine ?"