Et si au même titre que le running - là, la danse devenait un moyen de trans-sport ® à part entière ?
Et si on réfléchissait à nos parcours quotidiens sous l'angle de la danse ?
Et si nos métros devenaient des salles de dance ? là
Et si la rue était pensée autour des danseurs ?
Et si la danse nous permettait de passer de la mobilité à la motri-cité ® ?
Bref, et si on décalait un peu notre regard pour nous demander ce que ce sport pourrait apporter à la façon de se déplacer en ville ?
Ce sont quelques unes des questions que peut susciter le court métrage "Photay : monday".
Ce film peut-être vu comme la version danse classique de "Et si le trottoir n'était plus suffisant ?"
On comprend que pour cette danseuses, un métro n'est plus vraiment un métro.
Qu'un escalator n'est plus vraiment un escalator.
Qu'un passage piéton n'est plus vraiment un passage piéton.
Et qu'un mur est plus qu'un mur.
On comprend que pour cette danseuses, un métro n'est plus vraiment un métro.
Qu'un escalator n'est plus vraiment un escalator.
Qu'un passage piéton n'est plus vraiment un passage piéton.
Et qu'un mur est plus qu'un mur.
Ce post s'inscrit dans la lignée de nos récentes réflexions sur l'influence de la danse dans nos imaginaires urbains - voir "et si la danse faisait exploser la ville ?" - et prolonge notre questionnement "la danse comme nouvelle référence ?"
On y reviendra forcément le 8 juin prochain lors de notre prochain Atelier Transit-City organisé sur le thème "Et si les révolutions du sport entraînaient une vaste mutation urbaine ?"