Pour prolonger nos récents posts sur l'idée de réintroduire le cheval en ville - là et là -, je voulais vous proposer ces deux photos d'une opération menée par Equidia autour de l'hypothèse qu'après Vélib et Autolib, Paris pour se doter d'un service de chevaux en libre service (là).
Une idée aujourd'hui assez utopique, mais qui a le mérite d'interroger nos modèles de mobilités urbaines actuelles autour de nouvelles questions inédites.
Parmi les questions possible : ça pourrait ressembler à quoi une station de Chevalib ?
Au delà des nouveaux partages de voiries que ce service pourraient impliquer (voir "et si on réinventait les allées cavalières ?"), Chevalib voudrait, en effet, aussi dire la création d'un nouveau genre de stations de services équestres sous la forme a minima d'abreuvoirs (ci-dessous à Paris et à Londres au début du XX° siècles)
Une idée aujourd'hui assez utopique, mais qui a le mérite d'interroger nos modèles de mobilités urbaines actuelles autour de nouvelles questions inédites.
Parmi les questions possible : ça pourrait ressembler à quoi une station de Chevalib ?
Au delà des nouveaux partages de voiries que ce service pourraient impliquer (voir "et si on réinventait les allées cavalières ?"), Chevalib voudrait, en effet, aussi dire la création d'un nouveau genre de stations de services équestres sous la forme a minima d'abreuvoirs (ci-dessous à Paris et à Londres au début du XX° siècles)
Mais Chevalib, ça serait aussi potentiellement de nouvelles escales au service du bien-être animal, notamment sous de points d'eau permettant aux chevaux de se baigner le long des fleuves à l'image de ce qui existait sous certains ponts parisiens (photo et gravure ci-dessous)
On aurait donc avec un Chevalib une occasion exceptionnelle de réinterroger nos espaces urbains et les différents équipements notamment aquatiques (fontaine, abreuvoir...) qui pourraient y être associées.
Il ne manque aujourd'hui qu'une seule chose : celle des villes de vouloir vraiment innover en cassant les modes de pensée dominants.
Il ne manque aujourd'hui qu'une seule chose : celle des villes de vouloir vraiment innover en cassant les modes de pensée dominants.