Thursday, May 31, 2012

FRUGAL ROCKET

Quand la frugalité peut être jouissive.

, pas forcément très éloigné de cela et cela. Beaucoup plus, et .

Tuesday, May 29, 2012

LA MOBILITÉ A TRAVERS LE MONDE

Le 6 juin, j'aborderai tout ce qui n'est pas traité dans cette expo très(trop) connotée "archi/ingénieur de pays riches" du XX° siècle. On parlera du XXI° siècle et des nouveaux imaginaires du monde émergent. On parlera aussi bien de l'Afrique que des jeux vidéos, de Nike que de rickshaw, de Los Angeles que de Lagos, de Tokyo que de Havaïanas ...

Je tenterai, aussi, de montrer pourquoi les architectes sont probablement les plus mauvais penseurs de la ville ... et de ses mobilités. La Cité de l'Archi m'apparait un lieu idéal pour cela, non ?

Info, .

Monday, May 28, 2012

MANIFESTE ou EXPLICATION D'UNE DÉMARCHE

La carte des échanges aériens.


La carte des échanges entre scientifiques.


La carte de l'urbanisation en 2020.


 La carte de la population mondiale en 2030.


La carte de l'urbanisation en 2050.


Les cartes ci-dessus valent ce qu'elles valent, mais associées comme cela, elles ont le grand mérite de nous montrer une chose toute simple : le basculement du monde. (Sur les cartes, voir )

Et c'est pour mieux comprendre ce basculement, que depuis plusieurs années Transit-City conduit des Ateliers de réflexions prospectives pour comprendre où s'invente demain ?

Si nous avons toujours un regard très vigilants sur les nouvelles technologies (internet, mobile, jeux vidéo ...) et les nouveaux services et imaginaires qui y sont associés (comme en Corée du sud, par exemple), nous sommes loin de penser que l'avenir des villes va s'inventer dans internet, comme certains essaient de le faire croire depuis quelques années.

Pour nous, les facteurs de rareté, de pauvreté et de dérèglements climatiques - et les conflits qu'ils risquent d'entrainer - vont avoir des impacts beaucoup plus importants sur l'évolution des villes que bien des technologies liées au net. 

C'est dans le cadre de ce chantier sur les menaces du futur, que nous avions lancé en 2008, notre programme Catastrophic Cities, notamment autour de la question "Et si nous n'avions pas assez peur ?" Nous avons dans ce cadre abordé la question des émeutes urbaines, mais aussi la façon dont l'armée et le spécialistes de la sécurité pensaient la ville. (voir et , entre autres)

Nous avons parallèlement envisagé les nouveaux rapports possibles des villes avec leur environnement naturel, notamment sous l'angle de l'agriculture ("Et si dans un monde qui a faim, les villes devenaient des fermes ?") ou de la montée des océans ().

C'est toujours avec cette même préoccupation d'essayer de comprendre où pouvait s'inventer notre avenir que nous avons interrogé un certain nombre de modèles a priori peu désirables, mais qui pourraient pourtant nous aider à trouver des solutions viables et frugale pour demain.

Nous avons ainsi questionné le modèle des villes indiennes (mais aussi du Bengladesh et du Pakistan), des villes africaines et des villes arabes.


Lors de la saison 2010/2011, nous avons élargi notre focal en mixant dans nos réflexions la frugalitéla montée en puissance de modèles alternatifs liés au net et au mouvement du do it your self et aux nouvelles logiques économiques sud/sud. La question étant de savoir si s'inventaient des modèles alternatifs à  eux développés par l'Occident depuis deux siècles. 

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L'Atelier du 15 juin prochain sur la ville frugale a vocation à faire un lien entre ces réflexions et ce qu'il est possible ou imaginable de faire dans les pays riches, et notamment en France, quand on met la frugalité au coeur de la réflexion de la prospective urbaine.


Cette démarche commence à payer : regarder les pays pauvres comme modèles possibles pour demain, n'est plus totalement considéré comme une aberration. 
La preuve cet article titré "Bonjour Paris or Salam Bombay ?" publié il y a quelques jours à peine sur le site arch-peace et qui évoque les voyages de fin d'années des étudiants américains. Des voyages qui ont lieu très très majoritairement en Europe et qui oublient régulièrement le reste du monde ... et donc les vrais défis de demain.
Je vous en propose ci-dessous quelques lignes. Elles résument on ne peut mieux une partie de notre démarche au sein de Transit-City.
" As we mention more and more that 21st century will be the century of rising sea levels, depletion of energy resources and century of urban nature, we still think the solution to these problems are once again will be produced by our far superior technological society as if we know these things better.
We don't.

Recently in a well attended conference on hydrology, I witnessed how terrified the attendees were when thinking about the possibility of losing backyard greenery due to scarcity of irrigation water. As someone who grew up with municipal water rationing and revolving cut offs and ad-hoc ways of storing water for daily use, I was stunned by the helplessness of the scholars who talked about water rationing as if it was the end of the world and in denial. The conversation quickly turned into an all optimistic gaze into the future and miraculously our luxurious western lifestyles were saved and even more improved by reducing our tens of gallons per day water usage only by few!
Conveniently the doomsday scenarios were attributed to the pessimistic cynical thinkers.
Do gooding and optimism won, people clapped and there was a race to the wine bar and imported cheese.
It showed me why we were resistant to look into know-how of less than wealthy and “unimproved” geographies and travel to their cities to learn their ways of dealing with diminished and scarce resources.
We don't believe in the urgency. We don't think we have things to learn from poverty. We don't see architecture in it and we don't send our students to learn from them. We still think the solutions to dire problems will be produced by making handmade sketches of Parthenon, visiting and photographing Maxxi Museum in Italy, knowing the floor plan of a Swiss mountain town and trekking in Norway during the summer.
Irrelevant.
 (...)
Living with less requires know how which we desperately need to know better."

Friday, May 25, 2012

MAIS IL EST OÙ LE BON CÔTÉ ?

Trois visuels de la campagne "The Dark Knight Rise" qui renvoient à cela et cela, et qui posent forcément des questions toute simples au vu de l'actualité récente : ce sont qui les méchants ? ce sont qui les héros ?


Ce post n'est évidement pas complètement déconnecté des trois précédents sur les inégalités urbaines et les nouvelles façons de les représenter ou de les imaginer.

Pour aller plus loin sur ce sujet, voir  et .

Thursday, May 24, 2012

PORTE-AVIONS VOLANT ?

 pour essayer de réfléchir un peu autrement à demain.

Et si demain on inventait des plate-formes volantes pour les avions et les drones ?

Et si demain les avions devenaient des porte-avions ?

CITIES OFF-SHORE

Londres, Sydney, New-York, Le Cap ... probablement quatre des plus agréables villes au monde.
Les images sont signées Reinhard Krug. Elles sont le pendant de celle du précédent post, mais là ce sont les riches qui sont sur leur planète dans leurs quartiers centraux et cossus.

Les deux posts peuvent renvoyer à cela.

FAVELAS OFF-SHORE (2)

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Wednesday, May 23, 2012

CUBA COMME MODÈLE ?

La question peut paraître provocante, mais les éléments de la réponse - lisibles  - peuvent donner à réfléchir.

Monday, May 21, 2012

GHOST LABORATORY IN NOVA SCOTIA

Parce que c'est beau, simple et - surtout - intelligent comme démarche, voir .

Et on s'étonne pas d'y retrouver le grand Peter Stutchbury.

Ca peut renvoyer aussi à cela.

Sunday, May 20, 2012

SEA SHEPHERD

Respect et admiration pour Sea Shepherd que certains continuent à qualifier de terroristes.