Si on part du postulat que l'enjeu du XXI° siècle va être d'être de développer une mobilité non carbonée, écologique et active.
Et si, parallèlement, on part du principe que si les XIX° et XX° siècles ont été les siècles de la machine, le XXI° siècle sera, lui, celui du corps.
Alors...
Alors, nous sommes dans l'obligation de remettre à plat nos façons de penser les mobilités et, encore plus, la façon d'imaginer nos futurs.
Alors, nous sommes dans l'obligation de remettre à plat nos façons de penser les mobilités et, encore plus, la façon d'imaginer nos futurs.
Ca peut passer par la recherche de nouvelles grilles de lectures ou la création de nouveaux concepts, comme le trans-sport ® ou la motri-cité ®.
Ca peut passer par la nécessité de sortir de la seule obsession du numérique et la volonté d'aller chercher d'autres sources d'inspirations et d'imaginaires moins techniciens et plus low-tech.
C'est cette démarche que nous suggérions dans un précédent post "Branly pour penser demain ?"
Aller à Branly, c'est en effet mieux comprendre notre monde et pouvoir imaginer en dehors de l'obsession technologique, de nouveaux futurs.
Aller à Branly, c'est mieux comprendre l'émergence des nouvelles mobilités liées aux courses très longue distance (slides ci-dessus)
Aller à Branly, c'est voir une expo sur les indiens, c'est mieux comprendre le succès de l'ultra-trail et l'émergence du ride & run.
Aller à Branly, c'est mieux comprendre l'émergence d'un nouveau nomadisme frugal, low-tech et sans moteur.
- "No Motor Project"
Aller à Branly, c'est mieux comprendre l'émergence des nouvelles mobilités aquatiques sans moteur, notamment en milieu urbain.
Aller à Branly, c'est mieux comprendre pourquoi la voile et la rame sont probablement deux des grands vecteur de la mobilité du futur.
Aller à Branly, c'est réfléchir autrement à notre question "Et si on s'intéressait à la façon dont les voileux innovent ?"
C'est aussi un moyen d'enrichir nos récentes interrogations
Aller à Branly, c'est donc s'obliger à s'interroger sur nos grands modèles de développement.
Aller à Branly, c'est aussi s'obliger à s'interroger sur nos grandes références technologiques, climatiques et mobiles actuelles.
Enfin, aller à Branly, c'est avoir la confirmation que ce qui aura vraiment de la valeur demain, sera ce qui ne sera jamais numérisable.
C'est pour toutes ces raisons, que nous organisons notre prochain Atelier Transit-City du 13 septembre prochain, autour de la question "Et si c'était à Branly, que s'inventaient nos avenir mobiles ?"
C'est pour toutes ces raisons, que nous organisons notre prochain Atelier Transit-City du 13 septembre prochain, autour de la question "Et si c'était à Branly, que s'inventaient nos avenir mobiles ?"
Les Ateliers Transit-City ont lieu au Pavillon de l'Arsenal
de 8h45 à 11h
de 8h45 à 11h