SEX ET AUTOMOBILE : UNE SIMPLE HISTOIRE DE MECANIQUE ?

Faire l'amour en voiture est en général un moment assez joyeux, car souvent un peu rocambolesque tant dans ses circonstances (urgence et/ou clandestinité) que dans ses positions.

Le problème c'est que ce côté joyeux disparait dès que l'on essaie de penser la chose avec des images, car soit on tombe sur du porno souvent très triste, soit sur des planches comme celles de ce post extraites de "Carma Sutra" et de pubs détournées pour l'Opel Corsa. Des images pas franchement très excitantes, un peu comme si le sex en voiture se résumait à une simple histoire de mécanique.

On peut être d'autant plus étonné de cette pauvreté de la réflexion sur le sujet que l'évolution des habitacles avec l'émergence de la voiture autonome va offrir des perspectives de confort et de scenarii pas forcément inintéressants.

Ce post n'est qu'une toute petite facette des réflexions que menons actuellement sur l'évolution de la voiture autonome mais aussi dans le cadre de "Sex City", et ce dans la lignée de réflexions aussi différentes que celle-ci, celle-ci ou celle- là.

On en reparle bientôt.

SEX : IL FALLAIT QUE CELA ARRIVE ...

A force de travailler sur le corps (là), sur ce qui le répare (là), sur ce qui l'augmente (là) ou sur ce qui l'habille (là), il fallait bien qu'un jour ou l'autre on en arrive à parler de cul.

Le paradoxe veut, en effet, qu'aujourd'hui le sex soit partout, sauf dans la pensée urbaine, à quelques exceptions près - là.

Penser le cul ça ne se fait dans le milieu de l'architecture, de la ville et des transports. Ou alors de façon chiante et moralisatrice - voir là.

C'est pour cela qu'au sein de Transit-City, on a décidé de lancer une réflexion sur ce très beau sujet du sex dans la ville, dans la construction de nos imaginaires mobiles et de nos imaginaires sportifs.

On y revient bientôt.

TOKYO BIKE

Là.

ENJOY THE WEATHER

Pour prolonger mon précédent post et parce que la pluie peut devenir un plaisir, voir ce spot là qui renvoie évidement à cela.

AUSSI UNE QUESTION DE MÉTÉO

Là.

ET SI LA VRAIE QUESTION ÉTAIT CELLE DE L'ESPACE ?

En prolongement de mon précédent post, je voulais vous proposer ces quelques visions d'aménagements signées Donal O'Keffe.

Oui c'est un peu déconnant, mais cela permet de réfléchir un peu autrement à des espaces que nous ne prenons plus le temps de réinterroger.

ET SI LA VRAIE QUESTION ÉTAIT "COMMENT FAIRE L'AMOUR ?"

Et si la vraie question du voyage était celle du confort ?

Et si donc la vraie question du déplacement était plus liée au corps, à son bien-être et à ses plaisir (grâce au sex notamment) qu'aux applications proposées par les acteurs de la net économie ?

Et si on "recorporisait" donc un peu plus la question du voyage et du déplacement ?

Bref, et si on repensait enfin le confort et la mobilité sous l'angle du sex ?

ET SI ON METTAIT LE CORPS ET CE QUI L'HABILLE AU COEUR DE NOS RÉFLEXIONS ?

Le prochain Atelier Transit-City qui aura lieu le 11 avril prochain (les infos là) est organisé autour d'une question toute simple

- Et si on mettait le corps et ce qui l'habille au coeur de nos réflexions ?

Nous reviendrons à cette occasion sur un certain nombre de chantiers ouverts depuis quelques mois.

On reviendra longuement sur nos réflexions engagées sur le corps, dans la lignée de "C'est quoi demain un corps humain ?"

Nous reviendrons aussi sur le poids de certaines marques dans la constructions de nos nouveaux imaginaires, et notamment sur la montée en puissance de Red Bull qui fait aujourd'hui le travail que faisait Nike dans les années 80 et 90 - là.

Nous reviendrons aussi très longuement sur la montée en puissance de certains imaginaires liés aux sports extremes pour essayer de comprendre comment ceux-ci peuvent nous aider à penser autrement nos villes et nos mobilités - là, là et là.

Puis nous donnerons longuement la parole à Nicolas Petitjean, ancien designer de chez Oxylane / Decathlon, et actuel Directeur de la Recherche et de l'Innovation de Dim Branded Apparel, qui regroupe des marques comme DIM, Fila, Wonderbra, Playtex.

BY OZU

Là.

AUTRE ERRANCE

Pour prolonger le précédent post, là.

PRENDRE LE TEMPS DE SE PERDRE... ET ERRER

Ces images sont tirées du film "Le Vertige des Possibles", suberbe ode à l'errance et à la déambulation urbaine et nocturne.

Un film magnifique qui fait beaucoup de bien à l'heure de la connectivité permanente et de l'omniprésence du GPS.

"Prendre le temps de se perdre"... probablement l'une des idées les plus révolutionnaires d'aujourd'hui.

Sur l'errance, voir aussi ce très beau texte là signé Raymond Depardon.