A force de travailler sur le corps (là), sur ce qui le répare (là), sur ce qui l'augmente (là) ou sur ce qui l'habille (là), il fallait bien qu'un jour ou l'autre on en arrive à parler de cul.
Le paradoxe veut, en effet, qu'aujourd'hui le sex soit partout, sauf dans la pensée urbaine, à quelques exceptions près - là.
Penser le cul ça ne se fait dans le milieu de l'architecture, de la ville et des transports. Ou alors de façon chiante et moralisatrice - voir là.
C'est pour cela qu'au sein de Transit-City, on a décidé de lancer une réflexion sur ce très beau sujet du sex dans la ville, dans la construction de nos imaginaires mobiles et de nos imaginaires sportifs.
On y revient bientôt.