Dans un Paris de plus en plus en surchauffe, la Seine est et restera encore longtemps le seul axe fraicheur de la capitale - là.
Quand on dit la Seine, on ne parle pas des quais, mais bien du fleuve en lui-même.
En toute logique la Seine devrait donc devenir l'un des grands axes des mobilités urbaines futures, celles des mobilités actives et sportives.
Sauf que ...
Sauf que la Seine aujourd'hui, c'est le territoire exclusif des péniches et des bateaux mouches, c'est à dire le territoire des machines polluantes.
La Seine dans Paris intra-muros est aujourd'hui interdite aux activités sportives non polluantes, à l'exception de quatre ou cinq demi-journées dans l'année comme la TraverSeine qui s'est déroulée ce week-end.
Que la mobilité active soit interdite sur la Seine 360 jours par an, est évidement une aberration au vu des défis mobilitaire et climatique qu'il faut relever aujourd'hui.
L'urgence est de proposer de nouvelles offres de mobilités bonnes pour la santé et le climat.
Et la Seine devrait devenir l'un des grands territoires d'expérimentation des mobilités sportives urbaines.
L'urgence est de proposer de nouvelles offres de mobilités bonnes pour la santé et le climat.
Et la Seine devrait devenir l'un des grands territoires d'expérimentation des mobilités sportives urbaines.
C'est pour aborder cette question que nous organisons le 26 novembre prochain un Atelier Transit-City sur cette question.