Toutes les explications, là.
De la toile.
Toutes les explications, là.
Des parpaings, mais probablement pourris.
"La Chine vit dans une bulle spéculative très bien déguisée. Ceux qui en ont le plus profité sont ceux qui ont le plus placé d'argent à l'étranger et qui sauront partir lorsque le système explosera. Ils préfèrent naturellement tirer les bénéfices de cette bulle plutôt que la faire connaître et continuer à propager l'idée de grands succès économiques. Or tout le système est basé sur une escroquerie.
Prenons l'immobilier, par exemple. Le ciment, les parpaings ou l'acier sont de très mauvaise qualité. D'ici douze, quatorze ans, tout cela va s'effondrer, au sens propre comme au figuré. Mais les spéculateurs couleront leurs vieux jours sur la Riviera ou à Vancouver."
Explication de Liao Yiwu in "Chine : le porte-voix des bas-fonds"
Voir aussi "Une "carte du sang" de l'immobilier chinois chronique la violence des démolitions forcées", dont j'ai extrait les lignes ci-dessous.
"C'est une "carte du sang" de l'immobilier chinois, qui répertorie les incidents violents auxquels ont donné lieu des expulsions en Chine. Créé par un internaute chinois sur le logiciel Google Map, le site, consacré "à toutes les existences qui ont pâti de l'ultra-rapide processus d'urbanisation chinoise", a été visité plus de 350 000 fois depuis sa création le 8 octobre.
Une version ouverte de la carte est modifiable par des contributeurs, sur le modèle de Wikipedia. L'auteur, qui a pris le pseudonyme de Xuefangditu, ou "carte de sang de l'immobilier", incite les internautes à "refuser d'acheter les logements où le sang a coulé".