"Le superhéros est un personnage consternant. Non seulement il est coincé dans son copyright, mais en plus il est bloqué dans son rôle, comme une actrice porno. Le superhéros entretient avec l'actrice porno une relation cachée: on sait pertinemment comment ça se termine, il ne peut pas y avoir d'autre issue ! Il (comme elle) ne sait rien faire d'autre !
Je ne suis pas théoricien mais, pour moi, le superhéros, c'est un peu l'histoire du type super fort inventé à l'âge du Fordisme. Il a un truc à lui, c'est en général assez débile, mais il le fait bien, il le fait à fond, c'est son truc et il le fait tellement bien qu'il s'appelle un peu comme ce truc qu'il fait si bien. C'est mécanique."
J'avoue que j'avais jamais envisagé le fordism sous cette angle, mais en même temps on est dans le prolongement de "Sex et automobile: une simple histoire de mécanique ?"