"
Café lumière", ou le regard apaisé du cinéaste taïwainais
Hou Hsiao-hsien sur la mobilité de
Tokyo.
"Exploration douce et dure d’une solitude individuelle et collective…
L’image initiale du film élève et révèle déjà l’à propos du film ; garder le mouvement passé, regarder le mouvement passer. Au cœur des mécaniques humaines, le passage vers un avenir de chemins croisés ?
«Ma première inspiration pour « Café Lumière » n’est ni cinématographique, ni musicale, ni littéraire : c’est un plan, le plan du métro de Tokyo. (…) mon directeur de production qui est aussi mon monteur, dit que le film terminé ne se passe finalement pas tant que dans les cafés, et qu’il ne mérite plus vraiment son titre. Ce serait plutôt Métro Lumière !" » - là
Trailer,
là, et longue séquence,
là.