On aura juste le droit de se baigner dans la Seine dans des espaces bien délimités appelés "zone de baignade" et qui seront ni plus ni moins que des piscines à ciel ouvert - détails, là.
Avec les zones de baignades imaginées pour 2025, on sera beaucoup plus proche des piscines installées le long des quais parisiens au début du XX° siècle (ci-dessus) que de d'épreuve comme "la Traversée de Paris à la nage" (ci-dessous).
En 2025, la natation sera donc un simple loisir.
En 2025, la natation ne sera toujours pas un moyen de trans-sport ® au coeur de Paris.
Et c'est évidemment tout ce qu'on peut regretter.
Une fois de plus le sport est dissocié d'une véritable pensée innovante sur les nouvelles mobilités actives urbaines.
Et pourtant il y a de quoi faire : voir, "et si on passait du transport aux trans-sports ® ?"
Et pourtant il y a de quoi faire : voir, "et si on passait du transport aux trans-sports ® ?"
Pourquoi "ne pense-t-on pas plus la mobilité urbaine autour de la natation ?"
Pourquoi ne pense-t-on pas plus la Seine comme un espace de trans-sport ® et de motri-cité ® ? - voir là et là.
Pourquoi ne pense-t-on pas plus la Seine comme un espace de trans-sport ® et de motri-cité ® ? - voir là et là.
Pourquoi n'imagine-t-on pas plus que l'on puisse aller travailler en nageant ? - voir "swim to work ?" et "Et si on passait de "conduire ou courir ?" à "conduire ou nager" ?"
Pourquoi n'imagine-t-on pas "des couloirs de nage" sur la Seine qui seraient réservés aux nageurs pour se rendre d'un point à un autre dans Paris ?
Pourquoi n'imagine-t-on des "swimming station" pour inciter au swim commuting à l'image de ce qui se passe avec le run commuting ? - voir là et là.
On est dans le prolongement de
On poursuit la réflexion dans le prochain post.
Et on en reparlera forcément le 23 novembre prochain, là.