"Sauver, guérir ou du moins faire du bien, tels sont les mots d’ordre, souvent explicites, placés au coeur des projets littéraires contemporains.
Refusant de devenir un jeu postmoderne ou une simple dilection d’arrière-garde, la littérature française d’aujourd’hui a l’ambition de prendre soin du moi, mais aussi des individus fragiles, des oubliés de la grande histoire, des communautés ravagées et de nos démocraties inquiètes.
En s’intéressant de manière critique à cet imaginaire collectif thérapeutique où la culture, en place de la religion et d’un projet politique, veut réparer nos conditions de victimes, servir à notre « développement personnel », favoriser notre propension à l’empathie, corriger les traumatismes de la mémoire individuelle ou du tissu social, cet essai propose une réflexion inaugurale sur la littérature française du XXIe siècle."
Cette description ressemble étrangement aux nouvelles vocations que l'on prête aujourd'hui au sport, c'est à dire celles de réparer la société et d'essayer de tenter de régler tous ses problèmes (obésité, solitude, intégration, insertion,...)
Question : dans ce nouveau contexte, c'est quoi demain la vocation d'une marque de sport ?
Et ça pourrait être quoi demain les grands et les petits récits réparateurs des marques de sport ?
On en reparlera le jeudi 2 octobre, là.