TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK
Architecture, Mobilité, Nomadisme, Urbanisme, Nouveaux Imaginaires urbains, Nouvelles Fictions, Prospective, Nouveaux imaginaires du corps, Nouveaux imaginaires du sport
Tuesday, February 11, 2025
QUAND LE COLLECTIF...
Monday, February 10, 2025
ET SI NIKE ARRÊTAIT D'OUBLIER LES CLUBS ET LE COLLECTIF ?
Sunday, February 09, 2025
ET SI DEMAIN, LES CLUBS RÉINVENTAIENT LE SPORT... EN SE RÉINVENTANT ?
Car nous faisons le pari que c'est au niveau des clubs que le sport peut renouveler ses pratiques et ses imaginaires.
On en vous dit beaucoup plus, très vite.
Saturday, February 08, 2025
COMME UNE ENVIE D'AUTRES RÉFÉRENCES ...
Thursday, February 06, 2025
UNE IMAGE QUI FAIT TRÈS TRÈS PLAISIR
Monday, February 03, 2025
ÇA RESSEMBLERAIT À QUOI UNE NOUVELLE CARTE DES PENSABLES DU MUSCLE ?
Attention spoiler : ce post ne répond pas à la question qu’il pose à savoir : ça ressemblerait à quoi une nouvelle carte des pensables du muscle ?
Une question qui prolonge celle concernant la façon dont on pourrait créer de nouvelles cartes des pensables pour penser de façons plus riches le sport et ses liens avec la société.
La question que nous posons ici pourrait être : quelle carte imaginer pour penser et analyser l’économie du muscle ?
Si on fait le constat que le muscle a mangé le monde, pourquoi s'arrêter aux sports qui le mettent au coeur de leurs cultures (l'haltérophile, bodybulding, fitness...) et ne pas intégrer les autres domaines économiques qui l'utilisent et le valorisent ?
Doit on intégrer la presse gay ?
Les ventes des mangas Naruto ?
Celles des albums d’Asterix ?
Les entrées faites par les Avengers ?
Le budget medias des pubs Calvin Klein ?
Le business des combats de MMA et de boxe ?
Une pub Calvin Klein, ça vend des slips ou des adhésions à une salle de sport ?
Nous tenterons d'y répondre lors des quatrièmes Rencontres Sport / Equipement / Stratégie ® qui auront lieu ce jeudi 6 février autour de la question "Et si on essayait de mieux comprendre l'actuelle obsession pour le muscle ?"
Toutes les infos, là.
Pour vous inscrire, il suffit d'envoyer un mail à francois.bellanger@gmail.com en disant "Je viens".
Friday, January 31, 2025
POURQUOI IMAGINER UNE NOUVELLE CARTE DES PENSABLES ?
Ces autres cartes auraient «vocation à remettre en question les règles mêmes qui permettent de tracer des cartes et d'identifier des lieux».
Les cartes des pensables ne doivent donc surtout pas figer, mais au contraire permettre de nouveaux échanges et de nouvelles façons de penser et d’agir sur le réel.
Elles doivent remettre en cause le regard venant d’en haut pour permettre aux non spécialistes de s’emparer d’une question et d’y ajouter leurs regards.
Car comme le dit Rancière, «la politique advient quand les "incompétents" s'avisent qu'eux aussi savent penser à l'avenir et peuvent décider du moment.»
C'est aussi notre conviction.
Cela explique que nous ayons lancé les Rencontres de la Prospective Sportive ® et les Rencontres Sport/Équipement/Stratégie ® gratuites et ouvertes à tous
Cela explique le lancement de l'Université populaire du sport.
Ces trois rencontres participent de la même logique.
Celle de l'ouverture.
Et si vous voulez voir à quoi ça peut ressembler, on vous attend ce jeudi 6 février au matin pour les quatrièmes Rencontres Sport / Equipement / Stratégie ® organisées autour de la question "Et si on essayait de mieux comprendre l'actuelle obsession pour le muscle ?"
Toutes les infos, là.
Pour vous inscrire, il suffit d'envoyer un mail à francois.bellanger@gmail.com en disant "Je viens".
Thursday, January 30, 2025
ET SI LE SPORT FRANÇAIS ESSAYAIT DE SE DESSINER UNE NOUVELLE CARTE DES PENSABLES ?
Wednesday, January 29, 2025
ET SI LE SPORT FRANÇAIS TRAVAILLAIT SES VISIONS DU FUTUR PLUTÔT QUE DE GEINDRE ?
Tuesday, January 28, 2025
ET SI LES SALLES DE FITNESS ÉTAIENT DES FREINS À UNE VIE QUOTIDIENNE SAINE ?
"Comment se fait-il que les Américains soient plus obsédés que jamais par l'exercice, et pourtant aussi mal portants ?
S'il existe pourtant encore un credo américain partagé par tous, c'est bien celui de la croyance que l'exercice fait partie intégrante d'une vie bien vécue.
Il y a un siècle, l'exercice était l'activité d'une sous-culture étrange, mais aujourd'hui, il est presque impossible d'éviter les exhortations à faire de l'exercice : marcher cinq kilomètres pour guérir le cancer ! Réveillez votre sex appeal au cours de pole-dance ! Transpirer comme une célébrité ! L'exercice est partout.
Pourtant, les États-Unis ne sont pas une « nation en forme ».
Seulement 20 % des Américains s'entraient régulièrement, plus de la moitié des membres de la salle de sport n'utilisent même pas les installations qu'ils paient, et moins de 30 % des élèves du secondaire font une heure d'exercice par jour."
Voila ce que l'on peut lire en quatrième de couverture de "Fit Nation - The gains & the pains of America's expertise obsession" de Nathalia Mehlman Petrzela.
Les explications à cet état de fait sont nombreuses, mais l'une est bien claire : celle de la dissociation du sport avec les activités du quotidien.
"Pour de nombreuses personnes aux États-Unis, rester en forme signifie entrer dans sa voiture et se rendre à la salle de sport. Bouger est quelque chose sur une liste de choses à faire, mais isolé du reste de la vie quotidienne." expliquait récemment la même Petrzela au N.Y.T dans "Are Americans Doing Fitness Wrong ?"
« Il y a ce paradoxe incroyable où l'Amérique est, à bien des égards, le centre de l'industrie du fitness commercial, mais c'est aussi un endroit où les gens sont de façon extraordinaire les plus inaptes à faire du sport.»
Pour Petrzela une partie du problème vient de la culture américaine du fitness dominée par le "pay-to-play experience". "Il y a une infinité de gymnases, de cours et de produits qui promettent de vous remettre en pleine forme, tant que vous leur donnez votre carte de crédit."
Dit autrement : payer pour fréquenter une salle de sport évite de se poser trop de questions sur son mode de vie et sur ses façons de se déplacer.
Le constat n'est pas neuf et n'est évidement pas propre aux Etats-Unis.
Ce constat nous avait même conduit il y a quelques années, à nous demander "et si on supprimait les salles de sport ?" afin de favoriser les mobilités actives avec des questions comme :
- Et si au lieu de pédaler dans une salle, les accros de la salle se déplaçaient en vélo ?
- Et si au lieu de courir sur un tapis, les accros de la salle allaient au travail en courant ?
Cette proposition - évidement toute théorique - nous avait valu à l'époque quelques messages très inamicaux de quelques exploitants de salle...
Ce qui ne nous empêchera pas d'y revenir le 6 février lors de nos Rencontres "C'est quoi demain l'économie du muscle ?"